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    tarif des entrées        
    
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       Mardi 21 Septembre 2010 
      Auditorium CRD  
      Géraldine Laurent 
      "Time Out Trio"   
      Géraldine  Laurent : sax alto 
      Yoni Zelnik : contrebasse 
    Laurent Bataille : batterie 
    plus d'infos :  
     
        
      l'article de Citizen Jazz  
      
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          Géraldine Laurent  
            "Time Out  Trio" 
            Prix Django Reinhardt 
            Académie du Jazz 2008 
            Victoire du jazz  
            Révélation instrumentale de l’année  2008 
          Géraldine Laurent est une musicienne d’aujourd’hui, une improvisatrice de son temps. Un 
            temps composé tout à la fois de passé et de présent, inséparablement personnel et collectif. 
            Son premier disque en est la preuve. La jeune altiste fascine par son jeu incessant entre 
            mémoire vive du jazz (Rollins, Dolphy, Mingus…) et urgence de l’instant, tradition et 
            invention, racines et originalité, rigueur et fougue.  
            Avec ses deux stimulants complices, elle 
            fait montre de générosité sans fond, d’une belle énergie tant physique que mentale. Mise en 
            place impeccable, swing ébouriffant, sonorité pleine, charnue et fiévreuse, phrasé d’une 
            fluidité naturellement lyrique, prise de risque permanente, maîtrise égale du rythme, de 
            l’harmonie et de la mélodie, joie de jouer et de chanter dans son alto… 
          « Grâce à Géraldine Laurent, nous en sommes convaincus : le jazz est une musique 
            d’avenir.  
            Je persiste et signe : le génie est poète et Géraldine Laurent est poète. Géraldine 
            peut tout. Même l’impossible. » 
            Jean-
            Louis Chautemps, Jazzman 
             
            « Son alto, avec la précision d’une baguette de sourcier, 
            fait jaillir des geysers inespérés. Merci, Géraldine. » Philippe Carles Jazz Magazine 
         
              
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        photo Marc Rouve  
           
         
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      Samedi 2 octobre 2010 
        22h 
        
       
         Temple Protestant  
         Dans le cadre de la  
          "Nuit Blanche" 
          organisée par la 
         Ville de Charleville-Mézières  
        
       "CHUT LES CHIENS !" 
      Fabrice Martinez : trompette 
      Fred Escoffier : piano 
      Eric Echampard : batterie 
       invitent 
      Stéphane Bartelt : guitare 
      + 
      performance picturale de 
                               Islam Zian Alabdeen  
                              (peintre) 
      vidéos et musique sur myspace       | 
     
      
        
          "CHUT LES CHIENS !"  
          "Chut les chiens ! " est un trio de jazz créé à  l’initiative de Fabrice MARTINEZ (trompettiste). Après avoir joué et enregistré  avec Julien « Buj » Bonnard à la batterie, le trio poursuit sa route  avec le batteur Eric Echampard et le complice de toujours de Fabrice :  Frédéric Escoffier aux claviers. 
          Ainsi donc, trois musiciens originaires de Charleville-Mézières  ( Fabrice, Fred    et leur invité Stéphane  Bartelt) s'associent à l'un des batteurs les plus   demandés de la scène hexagonale, Eric Echampard, partenaire régulier de Marc   Ducret, Michel Portal, Andy Emler entre autres, leur musique servant   d'inspiration à la performance du peintre Islam Zian Alabdeen 
           
            Les musiciens aux cultures et univers différents apportent  une vraie force aux compositions originales de "  Chut les  chiens ! ". On ressent dans l’écriture la profondeur de la musique  classique (dont ils sont tous issus) mais également tout l’enrichissement des  musiques actuelles qu’ils pratiquent et qui leur donnent cette couleur plus  électrique. 
            L’importance accordée à  l’improvisation procure fraîcheur et mouvement à une musique contemporaine qui  se veut toujours accessible aux amateurs comme aux profanes. Le trio aime  s’entourer d’invités et se produire sous diverses formations pour toujours se  surprendre et donc vous surprendre. 
            Le groupe propose à ses invités de melanger   des influences souvent variées dans une trame musicale détonnante faisant la   pare belle à l'improvisation...sans jamais aboyer ! 
         
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          photo Youri Lenquette  
             
          
        photo Alain Julien  
         
         
          
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    Jeudi 4 novembre 2010 
      Théâtre 
      HADOUK TRIO 
       
              Didier Malherbe : 
              saxophone soprano,flûtes, doudouk. 
      Loy Ehrlich :  
      claviers, gumbass 
      Steve Sheehan : batterie,percussions 
      co-production Théâtre / CAJ 
       
      musique et vidéos sur myspace 
       
        
        
      plus d'infos:  
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          HADOUK TRIO  
           
            Formé de 3 musiciens multi-instrumentistes, ex partenaires de Gong, Peter Gabriel, Paul Simon, Sting... , Hadouk Trio 
              développe sur scène une musique intense, homogène et 
              tellement variée qu’aucune classification musicale ne peut 
              la définir précisément. 
              Ce n’est ni du jazz, ni de la world music encore moins de 
              l’ambiant music, de la pop ou du classique lounge : 
              Hadouk Trio est un savant mélange de tous ces genres.
              Il serait tentant d’associer l’ambiance d’un concert du trio à 
              une Invitation au Voyage Musical alors que le « live » qu’il 
              nous propose est tout simplement une incitation ultime à la 
              découverte d’un monde… d’une planète : La Musique. 
             
              "Le son d’Hadouk Trio est une alchimie puisée dans l’art du trio, transcendée par l’inspiration permanente 
              de ces 3 musiciens où les flûtes, saxophones, toupies, zeff et doudouk de Didier Malherbe s’harmonisent 
              avec les instruments africains (kora, hajou, gumbass ) et les claviers de Loy Erlich, le tout étant enveloppé,
              enrubanné par les percussions toutes aussi diverses (africaines, asiatiques, brésiliennes) de Steve Shehan. 
              Le grand art du trio oùmélodies, rythmes et harmonies ne font qu’un : c’est toute la magie musicale 
              d’Hadouk Trio. "  
            Jean Luc Leray 
          "Trois bourlingueurs pour une   musique fait main de très haute couture. 
            Du pur bonheur, jazz de haut-vol, un son oxygéné par des instruments roots :   doudouk, pékou, kora,  
            hajouj, djembé, ça tourne en boucle, et ça   rabiboche avec la vie. Miracle !"  
            Rémy   KolpaKopoul -  NOVA  
           
         
              
         
    
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         Patrick Audoux  Vues sur scene.jpg)  
photo Patrick Audoux ( Vues sur Seine )  
         
         
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          Gaïa Cuatro  
          Aux confins des nouveaux territoires du jazz, la rencontre  inattendue de l'Argentine et du Japon. 
          L'intensité et le caractère fougueux de la musique argentine  mélangés au raffinement de la tradition musicale japonaise fournissent la matière  première de ce quartet exceptionnel né de la rencontre entre deux des musiciens  les plus emblématiques de la scène jazz japonaise et deux musiciens argentins  particulièrement inventifs de la scène européenne.                                                               
          La virtuosité époustouflante de la violoniste Aska Kaneko  est servie ici par l'écriture à la fois sophistiquée et flamboyante du  compositeur Gerardo Di Guisto pour former un ensemble auquel répond, dans un  parfait équilibre, la rythmique tout en finesse que tisse le surprenant  dialogue entre le bassiste Carlos "El Tero" Buschini et le  percussionniste Yahiro Tomohiro. Quatre musiciens qui portent l'art de  l'improvisation à son excellence, avec une liberté de ton aux antipodes des  conventions établies,  façonnant au  passage une musique totalement inédite, mais que le naturel et l'élégance nous  rendent en même temps étonnamment familière. 
           voir vidéo  
         
              
    
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        photo Srange Vier
        
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     Mercredi 15 Décembre  2010 
    Auditorium CRD 
    Concert  
      de fin de stage 
    Big-Band de l'ENMD 
      dirigé par  
    Nicolas Folmer 
    tafif plein :   5€ 
      adhérents CAJ/APE/-18ans : 3€
     
    Réservations : Music Leader 
    03 24 33 05 27   | 
     
        
       
      
      
      
      
      
      
      
      
      
      
      
      
      
      
      
      
      
        
          
            BIG-BAND de l'ENMD 
              :  
              Depuis bientôt 24 années, le Big Band de l'ENMD a vu 
              défiler plusieurs dizaines jeunes musiciens, élèves 
              de l'ENMD de Charleville-Mézières. Dirigé par Dominique 
              Tassot, professeur de saxophone et coordinateur du département 
              Jazz et Musiques du Monde de l'école, il accueille régulièrement 
              en résidence des musiciens professionnels, qui proposent des oeuvres 
              et des arrangements spécifiques à l' orchestre. 
              Depuis 2003, un rythme s'est instauré : des résidences de 
              deux années, se clôturant par un concert présentant 
              le résultat du travail accompli. Ainsi le Big-Band a-t-il fêté 
              ses 20 ans en 2006 sous la direction de Jef Sicard (voir 
                compte-rendu ) 
              Charleville 
                Action Jazz gère ces résidences, ainsi que différents 
                stages et masterclasses qui y sont associés.  
              Le Big Band a ainsi accueilli quelques invités de 
                renom : Michel Herr et Félix Simtaine, Sylvain Kassap, Jef Sicard,         Pierre Vaiana et actuellement Nicolas Folmer. 
                 
                .NICOLAS FOLMER  est considéré comme l'un des meilleurs trompettistes 
                    et artistes de jazz de sa génération.  Il intègre l'Orchestre 
                    National  de Jazz de 1996 à 2000 et fonde avec Pierre Bertrand le « Paris Jazz Big 
                    Band » à la réputation aujourd'hui internationale et dont les projets - 
                    composés et dirigés par ses deux fondateurs - sont encensés par la critique. 
                Il fait donc profiter au Big Band de l'ENMD de sa grande expérience de directeur et arrangeur de grandes formations.  
            Répondant à notre invitation,  Nicolas Folmer est venu avec son quartet en septembre 2008 présenter sa relecture de la musique de Michel Legrand, qui lui a valu les éloges du compositeur avec qui il travaille régulièrement maintenant. 
               
               
             
           
         
       
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          .gif)  
          photo Dominique Rieffel  
         
         
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       Mardi 11 janvier 2011 
      Auditorium CRD 
      Thomas Enhco  Trio 
      Thomas Enhco : piano 
         
      Chris Jennings : contrebasse 
      Nicolas Charlier : batterie 
        
        
         Nouveau talent 2010 
      plus d'infos :  
        
      vidéos et musique sur myspace 
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          Thomas Enhco Trio  
         
       
      
        
          
             En 1998, à l’âge de neuf ans, Thomas Enhco est invité par Didier Lockwood à jouer au   festival de Jazz d’Antibes Juan-les-Pins aux côtés de Martial Solal. Le   violoniste l’invite depuis régulièrement lors de ses concerts. 
               
              Quatre ans après la sortie de son premier album "Esquisse" , parrainé par Peter Erskine, (mars 2006), Thomas   Enhco revient en trio avec un nouvel opus, "Someday My Prince Will   Come", produit par l'un des plus grands producteurs de jazz au Japon et   paru en juillet 2009 sur le tout nouveau label japonais Blue in   Green. 
            Entre temps, il a  fait partie du spectacle "Le Jazz et la Diva Opus II", mis en scène par Alain   Sachs, et du nouveau groupe de Didier Lockwood. 
               
              Composé de trois des plus talentueux jeunes musiciens français, ce   trio mêle les héritages du jazz et de la musique classique avec une complicité   et une énergie débordantes, emmené par son leader, tour à tour fin mélodiste,   improvisateur fougueux et compositeur inspiré. 
           
         
       
      
      
      
      
      
      
      
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        photo Philippe Levy-Stab
        
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    Mardi 15 février 2011 
      Auditorium CRD 
    Das Kapital 
    joue la musique  
    de Hanns Eisler 
     
    Hasse Poulsen : guitare 
    Daniel Erdmann : saxophone ténor 
    Edward Perraud : batterie 
    vidéos et musique sur myspace  
      
    plus d'infos :  
      
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            Das Kapital 
          Hanns Eisler fut un compositeur et une personnalité musicale   d’exception. Élève d' Arnold Schönberg dont il conserva toute sa vie l’amitié,   compositeur de bandes originales à Hollywood où il vivait comme immigré   politique pendant la seconde guerre mondiale. Expulsé par le Maccarthysme en   1949, il s’installa à Berlin où il est devenu une icône de l’art communiste,   travaillant notamment avec Berthold Brecht qu’il connaissait depuis les années   vingt et avec tous les grands auteurs de RDA, dont il a composé l’hymne   national. Il a écrit un grand nombre de chansons qui font depuis lors partie du   patrimoine allemand. 
            Esthétiquement la musique de Eisler   est à la fois très brutale et très raffinée. On perçoit bien le côté primitif   des cabarets berlinois des années 20, la simplicité propagandiste d’un   compositeur de chansons politiques en même temps qu’un raffinement harmonique et   mélodique des plus surprenants. 
          L’intérêt du trio Das Kapital pour   Hanns Eisler provient surtout de son intérêt égal pour les musiques savantes et   populaires. Son projet artistique était d’écrire une musique d’avant-garde,   sophistiquée, qui resterait accessible à tous. Les chansons de Eisler font   partie du bagage musical élémentaire de Daniel Erdmann qui a par ailleurs étudié   au conservatoire berlinois qui porte son nom. 
          "Mélodie mise à nue et ciselée par la rythmique, ou attaque de front d'un thème   scruté, recomposé par un jeu d'enchâssement... Das Kapital n'a rien perdu de ses   intuitions premières, bien au contraire. Mais les arrangements offrent un cadre   singulièrement éruptif. Pour un ténor charnel, patte de velours à la détente   cinglante, une guitare sculptant la matière sonore, une batterie au drive   inquisiteur. Das Kapital emporte la rumeur et la mémoire du monde, bouleverse   les lendemains qui chantent, dessine des résonances intimes d'une énergie   salutaire à l'invitation au silence." 
          Thierry Lepin Jazzman  
         
              
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          photo x  
          
            
        Edward Perrault  jouera ce soir  
  au profit de NEUROLIGUE, association récoltant des fonds pour   la recherche sur les maladies neuro-dégénératives.
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    Jeudi  17 mars 2011 
       
    Auditorium CRD 
    Frédéric Norel 
    " Dreamseekers  
    Quartet"  
     
    Frederic Norel : violon 
    Sylvain Rifflet : clarinettes, 
      saxophone ténor  
    Benjamin Moussay : 
    Fender Rhodes, claviers  
    Arnault Cuisinier : contrebasse 
    musique sur myspace  
      
    plus d'infos :   | 
    
      
        Frédéric Norel 
          "Dreamseekers Quartet" 
         Liberté, émotion,   complicité, sens, exigence, m élodie, images, voilà sept mots qui décrivent   l’atmosphère de ce quartet. Avec son premier album,"Dreamseekers", Frédéric Norel, inspiré   de ses travaux comme compositeur pour le cinéma et le théâtre, nous offre ici   une musique mélodique et narrative, puisant dans l’imaginaire de chacun,   inconscients contre inconscients, rêves contre rêves. 
        L' album de Frédéric Norel  relie le   classique et le jazz sous la plus flottante des bannières : celle du rêve et de   l’imaginaire. Baigné dans une texture sonore épurée, où se fondent violon,   saxophones, claviers, clarinettes et contrebasse, Dreamseekers est bien   le disque d’un chasseur de songes : il capture dans ses filets des moments   poétiques dérobés à un monde intérieur qu’on devine fertile, peuplé de visions   et d’émotions que seule la musique sait traduire. 
          « Un pouvoir d’attraction, pour ne pas dire de   séduction, quasi irrésistible » 
            Jazz Magazine 
            « C’est   le triomphe de l’impressionnisme du mouvement et de l’esprit moderne   »  
          Classica 
            « Le   disque d’un chasseur de songes, qui capture dans ses filets des moments   poétiques dérobés à un monde intérieur fertile » 
            Les Inrockuptibles 
            «   Dès l'intro de   Dreamseekers, on est séduit par la très belle sonorité du violon de Frédéric   Norel. Puis le charme d'un climat onirique nous emporte   » 
            Jazzman 
              
       
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      photo Grégoire Alexandre 
         
       
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    Samedi  9 avril 2011 
      Théâtre 
      Médéric  Collignon  
            "Jus de Bocse "  
      Médéric Collignon :  
      trompette de poche, bugle, voix  
      Franck Woeste : Fender Rhodes 
      Frédéric Chiffoleau : contrebasse 
      Philippe Gleizes : batterie  
      co-production Théâtre / CAJ  
        
         Artiste et formation instrumentale  
      de l'année 2010   
      vidéos et musique sur myspace  
        
      plus d'infos :  
        
        
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            Médéric  Collignon  
            "Jus de Bocse " 
         
       
     
      
        
          
            Le parcours de Médéric est à l’image de son talent immense,   dense ... boulimique ! On a le tournis en énumérant les formations, les   expériences, les projets, les compositions… auxquels il a participé. Ce musicien   à l’imagination débordante est passé par quasiment tous les styles possibles   depuis le début de sa carrière : salsa, bal, be-bop, jazz 60’-70’, funk, trash,   New Orleans, R’n’B, jazz contemporain, jazz moderne, ethno-Funk, électronique… 
            Ce qui impressionne d’abord chez lui c’est son énergie … une masse d’énergie qui   semble être inépuisable. Il suffit de l’avoir vu en concert où d’avoir écouté un   de ses albums pour le savoir. 
              Sur scène, il semble être partout : il décoche   son cornet de poche pour envoyer très haut un phrasé Be-bop, qu’il continue en   vocalises pour soudain laisser place à un groove maîtrisé où sa voix accompagnée   d’effet fait rouler une basse bien sentie, et quand le rythme s’énerve ses doigts   retombent alors sur un clavier korg avec des airs de voltigeuse… 
             Devant une tellle maîtrise du jeu rythmique, de l'harmonique et de la direction, on a   peu de peine à se rendre compte que Médéric est aussi un brillant compositeur.   Il a (adapté et) réécrit avec talent "Porgy and Bess" pour son "Jus de Bocse",   quartet survitaminé, en y apportant beaucoup de fraicheur et de liberté. Le   résultat est désarmant, sorte d’opéra artificiel et multicolore, dense et   puissant. Avec ce projet Médéric a remporté le prix de la révélation Française   de l’année (prix Frank Ténot) aux Victoires du Jazz 2007. Avec le même quartet,   il a sorti un nouvel album "Shangri-Tunksashi-La" en mars 2010 : un hommage aux années   1968-75 de Miles. 
              « La première époque "électrique" de Miles, croisement de   tant d'énergies, d'audaces, de détermination, de grâce et de beauté pure, me   donne instinctivement l'envie de la comprendre et de la jouer. »  
              Médéric Collignon  
           
         
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photo Ph Levy Stab
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    Mardi 17 mai 2011 
    Auditorium CRD 
    John Law Trio 
    ( Grande Bretagne ) 
    John Law : piano 
    Asaf Sirkis : batterie  
    Yuri Goloubev : contrebasse  
    http://www.nday.co.uk/biography.html 
     musique et vidéos sur Utube  
      
      
      
    plus d'infos :  | 
    
      
         
          John Law Trio  
          ( Grande Bretagne )  
        Il est  incompréhensible qu'un musicien de la trempe de John Law soit si peu connu en France. 
          A l'écoute des 4 volumes de " The Art of The Sound " ( deux en solo, deux en trio ), on se dit que ce musicien a sa place aux côtés de Brad Mehldau et du regretté Esbjorn Svensson.  
          Promis à une brillante carrière de soliste dans le monde de la musique classique, ,John Law se lance à 23 ans dans le jazz le plus free. Il y côtoie les plus grands noms du genre. Puis il accorde plus d'intérêt à l'écriture, réinvestit sa grande connaissance de la musique baroque dans un jazz de plus en plus mélodieux. 
            Il a enregistré 25 albums en leader, et pour ce trio, s'est associé à deux musiciens recherchés au cv impressionnant : le batteur d'origine israélienne Asaf Sirkis et le russe Yuri Goloubev, virtuose de la contrebasse. 
            Le résultat est époustouflant, une musique à la fois mélodique et dynamique, sophistiquée et facile d'écoute.  
       
     
      
        
          
             
              "L'un des groupes les plus admirés et les plus respectés sur la   scène actuelle, le trio accumule les critiques admiratives et un retour   extatique du public... un partenariat musical qui engendre un esprit collectif   peu commun." 
              Serious-London Jazz Festival  
               
              "Chaque note, chaque nuance du  trio de 
              John Law a captivé mon attention   comme jamais depuis trente ans". 
              Nad Knowles. Président de Europe Jazz Network 
                
              "Un trio sublime, un groupe en route pour de   grandes choses." Jazz UK The Gardian 
              "Complexe, intime, et adorable... une leçon de lyrisme." John Barlow-Jazzwise 
               
                 
           
         
       
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        photo Andy Webb  
        
        photo Bob Meyrick  
         
       
     
    
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    Vendredi 27   Mai 2011  
      20h30 
      "Jazzez Vian !"  
      Amphithéâtre  
        Pierre Mendes-France  
      SEDAN 
      (entrée libre)  
      Walter D’Andrea :  récitant, chant 
      Thierry Meurisse : piano et trombone 
      Philippe Thomas : contrebasse 
      Eric Vanoverberghe : trompette 
      Charles Michiels : clarinette 
      co-production  
        Médiathèque de Sedan/CAJ  
      en partenariat avec le  
      Gaume Jazz Festival  
      Entrée libre sur réservation au 
        03 24 29 26 48
 
        
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            "Jazzez Vian !"  
            Le Boris de Saint-Germain-des-Prés en poésie et en   chansons 
          C’est à rencontrer l’auteur, le musicien et le pourfendeur de société ayant   tiré sa révérence il y a un demi-siècle que nous sommes invités, au travers d’un   montage de textes et de chansons. On découvrira un homme qui, sous des dehors   provocateurs, cache une immense tendresse, opposant son cœur à la haine et à la   sottise. Le parcours sera agrémenté de standards de Duke Ellington, ce musicien   de jazz tant admiré de Boris Vian. 
         
       
     
      
        
          
            Tour à tour ingénieur, auteur, traducteur, musicien, journaliste, interprète   et jazzologue, Boris Vian est devenu célèbre grâce à sa chanson "Le déserteur " et   quelques-uns de ses romans qui restèrent pourtant largement incompris de son   vivant. Quant au poète, on loue sa dérision, son plaisir charnel du mot, mais   qu’en est-il du musicien, du trompettiste, du chroniqueur de « Jazz Hot » ? 
            C’est ce que Walter d’Andrea et ses musiciens proposent de découvrir dans ce   « Jazzez Vian ! », en approchant l’homme de lettres et le musicien par le biais   d’un assemblage de textes et de chansons articulés autour de standards de Duke   Ellington. Walter D’Andrea a choisi des extraits des écrits sur le jazz   correspondant aux différentes énergies et facettes des instrumentistes. 
            Une prestation tout en émotions, en rythmes et en rires, au terme de laquelle   chacun sera pris d’une irrésistible envie de (re)lire et de (ré)écouter les   textes et chansons de ce touche-à-tout génial et trop tôt disparu qui barrait la   route à la bêtise et à la monotonie par sa rage de vivre, sa générosité et sa   lucidité conquérantes. 
           
         
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