page d'accueil

 

 

Voir les tarifs d'entrée



vendredi 6 octobre
20h30

Centre Culturel

Place Gambetta

Nouzonville


Trio Grande

Laurent Dehors : clarinettes, saxophones, cornemuse, flûte

Michel Massot : euphonium, soubassophone, trombone

Michel Debrulle : batterie, percussions

plus d'infos :


 


Trio Grande

Jazz impertinent : une musique libertaire, jouissive et communicative

Le plus petit big-band du monde a fêté 30 ans de complicité musicale en  2022, chose suffisamment rare pour être soulignée, publiant  pour l’occasion son sixième album « Impertinence », qui a reçu le Choc dans Jazz Magazine.
Trois musiciens mais une multitude d’instruments, toute la famille des saxophones, celle des clarinettes cohabitent  avec une cornemuse facétieuse sous les doigts  de Laurent Dehors, tandis que Michel Massot alterne soubassophone, euphonium et trombone en esquissant quelques pas de danse, soutenu par les percussions de Michel Debrulle.

« … quel plaisir de retrouver ces trois musiciens ensemble ! L’énorme pulsation de Michel Massot au soubassophone, les glissades hors-piste de Laurent Dehors, la finesse  de main de Michel Debrulle, surtout quand il manipule sa cymbale… L’alchimie entre les trois complices  se vérifie  à chaque instant.  Ils n’ont rien perdu de leur envie  de nouveaux univers sonores et de s’en amuser comme des cancres joyeux… »  Jean-François Mondo – Jazz Magazine

"... C’est une belle histoire d’amitié et de fidélité que ce trio : il y a d’ailleurs quelques instants où l’espièglerie laisse place à une émotion profonde, à l’image de « Mathilde » écrit par Massot. La rythmique trouvée par Michel Debrulle donne à ce morceau des atours cinématographiques, avec une certaine tension. Encore et toujours, Trio Grande raconte des histoires. Ici, Laurent Dehors est passé à la clarinette contrebasse, et comme toujours, c’est une autre magie qui opère, un brin nostalgique. C’est ce qui scelle aussi les belles aventures, celles qui peuvent durer encore longtemps."
par Franpi Barriaux - Citizen Jazz




photo Lara Herbinia



 

vendredi 17 novembre
20h30

Auditorium Conservatoire Ardenne Métropole
Charleville-Mézières

Sylvain Rifflet Tri!ple

Sylvain Rifflet :
saxophones, clarinette

Bettina Kee : claviers

Vincent Taeger : batterie

plus d'infos :

 

 

Sylvain Rifflet - Tri!ple


Sylvain Rifflet a su forger au fil du temps un style musical inimitable.
Après « Mechanics », un opus audacieux pour lequel il décrochait la Victoire du Jazz en 2016, dans la catégorie Meilleur Album; son coup de chapeau au légendaire Stan Getz avec « Re Focus », « Troubadours », une ode imaginaire à la musique des anciens poètes de l'amour pour lequel il a reçu, entre autres, un choc de l'année et "Rébellion(s)", un disque manifeste inspiré par les grands discours de lutte et de résistance, le saxophoniste Sylvain Rifflet a sorti un nouvel album "Aux Anges" en 2022, conçu comme un jeu de piste à travers son intimité artistique.

Mais le voilà déjà avec un nouveau projet : Tri!ple est un trio d’un genre nouveau. Affranchi des influences. Un trio de jazz ... mais pas que. Mélodique et dansant, écrit et libre, acoustique et électronique, une musique composée sur mesure pour le batteur Vincent Taeger et la claviériste Bettina Kee.

 Un virage sonore avec cette formule singulière mais aussi un virage esthétique. Empruntant pour beaucoup aux codes de la musique électronique et du rock, la musique du trio se construit autour de rythmiques, d'alliages de timbres ou d'ambiances précises pour développer des espaces tantôt oniriques et planants tantôt plus musculeux et engagés.

 



mardi 12 décembre
20h

Théâtre
de Charleville-Mézières


 

Daniel Zimmermann
Quartet
invite
Erik Truffaz

"L'homme à la Tête de Chou in Uruguay"

Daniel Zimmermann :
trombone, arrangements

Pierre Durand :
guitare

Jérôme Regard :
basse

Julien Charlet :
batterie

Invité :
Erik Truffaz
: trompette

en partenariat avec le Théâtre de Charleville-Mézières

tcm

voir le teaser :

plus d'infos :

 

Daniel Zimmermann Quartet invite Erik Truffaz

L’homme à la tête de chou in Uruguay, variations sur la musique de Serge Gainsbourg

Incontournable tromboniste de la scène française, Daniel Zimmermann se lance dans une relecture très personnelle de l’œuvre de Serge Gainsbourg, avec les musiciens de son album multi-auréolé « Montagnes Russes ».

Il s’offre même le luxe d’inviter, le trompettiste Erik Truffaz. Ce dernier amène son grain de fantaisie et sa patte novatrice à cette relecture de l’œuvre originale. Ensemble, ils multiplient les clins d’œil au maître pour mieux s’en détourner, insufflant son esprit de malice
et d’irrévérence dans chacune de leurs envolées.

Vivant, ludique, émouvant, l’ensemble va et vient entre arrangements décalés et création de véritables nouvelles pièces, élaborées à partir d’ingrédients extraits de l’œuvre originale du mythique chanteur-compositeur. Concentrés autour du Gainsbourg d’avant Gainsbarre, le plus créatif du point de vue des mélodies, les 4 fortes têtes associent l’énergie brute d’un groupe de rock à la liberté créatrice et fougueuse du jazz.

 

"... cette musique se déguste : sa capacité à respecter les thèmes originaux (tous très facilement identifiables) va de pair avec une appropriation heureuse et dopée à l’énergie d’un quartet augmenté qui s’en donne à corps joie, élaborant une matière qui est résolument celle d’un jazz contemporain, volontiers branché sur l’électricité de la paire guitare-basse.... ... Hommage, gourmandise, plaisir du groove et du collectif, énergie. Voilà de quoi il retourne avec cet Homme à tête de chou In Uruguay, dont on ne peut que conseiller la fréquentation assidue. " Denis Desassis - Citizenjazz

 

 

 


 




photos Sylvain Gripoix / Nathalie Pallud


 



vendredi 19 janvier

Paul Lay
Géraldine Laurent Duo

"We love Jobim"

Auditorium Conservatoire Ardenne Métropole
Charleville-Mézières

Géraldine Laurent : saxophone

 Paul Lay  : piano 

plus d'infos :

 

Paul Lay / Géraldine Laurent Duo

We love Jobim

Géraldine Laurent et Paul Lay sont deux formidables solistes de la scène jazz française qui ont l’excellente idée de croiser leurs univers. Depuis plusieurs années partenaires au sein du quartet de Géraldine Laurent, ils se retrouvent en duo pour une toute nouvelle création autour d’Antonio Carlos Jobim, fondateur et véritable icône de la bossa-nova. Ils arrangeront certaines de ses mélodies les plus célèbres (Wave, Meditation), mais également certaines chansons-pépites moins connues du grand public.
Une ode enjouée, rythmée, ensoleillée, et pleine de poésie à Rio de Janeiro, au Brésil, à Tom Jobim l’immortel.

Après avoir reçu une Victoire du Jazz en 2020 pour "Cooking" (meilleur album de l’année), Géraldine Laurent est à nouveau récompensée en 2023 en tant que meilleure artiste instrumentale et pour le meilleur concert. Paul Lay a quant à lui a été nommé artiste instrumental de l'année en 2020.

«…excellente imagination harmonique, jeu très diversifié, compositions des plus intéressantes, connaissance évidente de l’histoire du jazz, discours personnel, Paul Lay a tous les atouts pour «monter » et durer ! …» Martial Solal
«…dans sa quête incessante des vraies émotions du jazz, on entend Géraldine Laurent traversée par les âmes de Rollins, de Dolphy, de Coltrane, de Hawkins ou de Parker, toutes résolument tendues vers le même but...» Laurent de Wilde


vendredi 16 février

20h30

Auditorium Conservatoire Ardenne Métropole
Charleville-Mézières

Singülar

Pascal Schumacher : vibraphone

Edward Perraud :
batterie

Sebastian Studnitzky :
piano & trompette

plus d'infos :

 


Singülar


Singülar ! Ce trio est uni par un important dénominateur commun : la capacité à se mouvoir librement entre les instruments et les sons acoustiques et électroniques. Ce qui rapproche les trois hommes tient aussi à leur amour pour l’impermanence, le changement et la recherche de ce petit quelque chose en plus.
Aucune limitation stylistique ne pèse sur eux. Ce n’est d’ailleurs guère surprenant lorsque l’on connaît les parcours artistiques de ces musiciens.

Pascal Schumacher est un vibraphoniste de jazz, compositeur et leader de groupes luxembourgeois. Il exploite différents styles musicaux dans son travail, avec une spécialisation dans le vibraphone et le marimba. Il flirte régulièrement avec la musique électronique et intervient comme compositeur et musicien dans toute une série de formations. Il est un invité apprécié du Centre Culturel Opderschmelz, avec son propre quatuor ou en duo avec Sylvain Rifflet.
Edward Perraud est lui aussi un personnage aux talents éclectiques : il est percussionniste, compositeur et photographe artistique. Rien d’étonnant donc à ce qu’il ne soit pas non plus rebuté par l’un ou l’autre genre musical. Le jazz ? La chanson ? Le rock indépendant ? Tout cela à la fois ? Aucun problème.
Le troisième acolyte est le multi-instrumentiste Sebastian Studnitzky. Membre attitré d’innombrables groupes et doté d’une formation de trompettiste et pianiste de jazz, il a collaboré à de multiples productions de disques dans des styles divers et variés, de la pop à l’électro.

 


© Lynn Theisen

 

vendredi 15 mars

20h30



Auditorium Conservatoire Ardenne Métropole
Charleville-Mézières

 

Pierre de Bethmann Trio


Pierre de Bethmann :
piano

Sylvain Romano : contrebasse

Nelson Veras : guitare

plus d'infos :

Pierre de Bethmann Trio


Pierre de Bethmann poursuit sa route autour d'une nouvelle formule de trio, le guitariste Nelson Veras joignant sa voix à celle du piano et de la contrebasse de Sylvain Romano.
Par un son à la fois plus intimiste et marqué par de fortes personnalités, ce nouveau trio continue à explorer toutes les richesses d'un répertoire de standards issus de multiples traditions musicales, parfois transformés au gré de l'inspiration harmonique et rythmique des musiciens, parfois choisis sur le vif.

C'est un nouvel alliage piano – guitare – contrebasse, s’organisant autour d’un son résolument différent, qui entrait en studio au cours de l’été 2022 afin de poursuivre la série des « Essais » sous une autre approche. Toujours féru de standards issus de multiples traditions musicales, toujours profondément attaché à l’idée d’en proposer une idée originale autant que profondément travaillée au fil des concerts, le trio se transforme ainsi par la personnalité exceptionnelle du guitariste Nelson Veras, proposant toute la finesse de son jeu au tandem préalablement formé par le pianiste le contrebassiste.

"... Je ne vais pas détailler chaque plage, mais je dois avouer que, jusqu’au terme de l’album, je suis resté sur un petit nuage, un bonheur offert à l’amateur de découvrir de nouveaux trésors, de nouvelles sensations. La magie du guitariste n’y est pas pour peu, mais le pianiste qui a suscité cette rencontre, et son répertoire, en cultivant l’ancienne connivence avec le bassiste, est bien le porteur de cette re-création, qui est beaucoup plus que récréative, de thème qui nous étaient connus, voire familiers. On se précipite sur ce bel objet sonore de Jazz, au sens le plus noble."
Xavier Prévost - Dernières nouvelles du jazz.

 

 

 


photo Gildas Boclé



mardi 16 avril

20h30

 

Auditorium Conservatoire Ardenne Métropole
Charleville-Mézières


Hadouk Duo


Didier Malherbe :
doudouk, flûtes, khaen (Laos), hulusi, bawu (Chine), ocarinas

Loy Ehrlich : kora, vièle, hajouj, awicha, ribab

 

plus d'infos :

Hadouk Duo

Un jazz métisse et organique ! Hadouk célèbre la vie et les cultures du monde dans un langage musical onirique et captivant depuis deux décennies. Éléments fondateurs du son Hadouk, le hajouj de Loy Ehrlich et le doudouk de Didier Malherbe ont forgé l’identité sonore du groupe reconnaissable entre toutes. D’abord duo, puis trio avec Steve Shehan, le groupe est devenu quartet en 2013 avec l’arrivée d’Eric Löhrer (guitare) et Jean-Luc Di Fraya (percussions et chant).
Le voici de retour dans sa formule initiale du duo, privilégiant l'usage d'une panoplie d'instruments exotiques.

Didier Malherbe : mi-jazzman, mi-charmeur de serpent, le saxophoniste-flûtiste du Gong poursuit sa croisade musicale éclairée là où l'improvisation le mène, en franc-tireur de la musique au gré des rencontres. Pas de gourou, pas de normes ni d'étiquettes. Sir Malherbe est né sous le signe de l'éclectisme et de la polyvalence, ascendant "généreux". Autour du rock (Steve Hillage, Higelin, Brigitte Fontaine) et du jazz (Robert Wyatt, Alan Holdsworth, Pierre Bensusan), des "puja" des saddhous de Bénarès aux nuits de transe des Gnaouas d'Essaouira, il s'est forgé une personnalité rare, un son particulier plus que jamais apprécié sur la scène musicale internationale.

Loy Ehrlich : un autre de ces "braqueurs émérites du son global". Vieux complice de Malherbe il manie avec autant d'aisance le clavier d'un synthé que le hajouj marocain ou la kora. Pionnier de l'ère jazz-rock, rôdé auprès de Peter Gabriel ou Jon Hassel, il fut également pendant longtemps l'accompagnateur attitré de monstres sacrés de la scène "World" tels que Youssou N'Dour, Touré Kunda, Geoffrey Oryema et Wasis Diop, un des premiers également à s'initier à l'univers mystique des Gnaouas. On le retrouve ici dans un registre qui lui colle parfaitement à la peau, avec ce son aérien et cette faculté rare de guider aussi bien que de seconder l'autre.

 



photo Le Triton

 

 

mardi 21 mai
20h

Théâtre
de Charleville-Mézières

Ana Carla Maza Quartet

Ana Carla Maza :
violoncelle, voix

Norman Peplow : piano

Marc Ayza : batterie

Luis Guerra : percussions

 

tcm

en partenariat avec le Théâtre de Charleville-Mézières

Réservations : Théâtre
03 24 32 44 50

 

 

Ana Carla Maza Quartet – Bahia


Rayonnante, Ana Carla Maza fait corps avec son violoncelle pour dessiner sa Havane natale.
Voix suave, pizzicati percussifs et archet aérien : la violoncelliste, subtilement entourée d’un trio jazz, déploie une gamme de couleurs et de sensations, alternant caresses et tempêtes. Ana Carla Maza crée un univers ouvert alliant jazz, musique classique et couleurs de l’Amérique latine.

Après le succès de son album solo « La Flor » et plus de 150 concerts en Europe Ana Carla Maza revient cette fois cette fois-ci accompagnée de musiciens pour un nouvel album, hommage au quartier Bahia de La Havane où elle a passé sa petite enfance.

Ana Carla Maza signe les compositions, créant un univers musical ouvert alliant jazz, musique classique et couleurs latino-américaines. Les sonorités cubaines et brésiliennes sont en effet à l'honneur dans « Bahia », où les rythmes comme le tango, le huayno, le son cubain ou la bossa nova se rassemblent pour dessiner un monde de sensibilité et d'espoir.


«... de Bahia, nom de son quartier natal à La Havane, elle fait ainsi rejaillir les accents cosmopolites et populaires en espagnol et en français. Entre échos de Bossa et rumeurs de tango piazzollien, souvenirs cubains de « cafés partagés à l’improviste, sans être pressé par le temps », et romance épistolaire parisienne improvisée à la terrasse du Saint-Régis (Petit Français), elle butine sa latinité d’une voix en fleur et l’archet aussi mutin que véhément, – et, pour la première fois, un piano. » Télérama – Anne Berthod

 


 

 

 

 


photo José Fradé


Stages, masterclasses et résidences :

Les stages et masterclasses proposés par Charleville Action Jazz bénéficient du financement du Conservatoire Ardenne Métropole, de la Ville de Charleville-Mézières,
de la Communauté d'Agglomération Ardenne Métropole et de  la Région Grand Est

 

Résidence
auprès du Big-Band du Conservatoire Ardenne Métropole

Gueorgui Kornazov

 

De Bulgarie à Paris, de l’Académie de Musique de Sofia aux ateliers de la classe de jazz du C.N.S.M.D. de Paris, le tromboniste Gueorgui Kornazov nourrit sa musique de multiples influences. Le jazz, devenu son langage, se fait désormais le reflet de cette aventure, subtilement mise en lumière par des compositions originales, bercées de classique, de folklore et de jazz contemporain.


Gueorgui Kornazov est né à Sevliévo (Bulgarie). Parallèlement à des études classiques au Conservatoire Supérieur de Sofia, Gueorgui s’initie au jazz et joue rapidement avec les musiciens bulgares les plus renommés. Il entre ensuite au C.N.S.M.D. dans la classe de jazz de François Jeanneau et en 1998, à l’unanimité il reçoit un 1er prix. 
Il forme ensuite son propre quintet et reçoit un 3ème prix de groupe au concours de jazz de La Défense en 1999. Gueorgui a joué avec l’O.N.J. de Didier Levallet sous la direction de John Lewis, puis comme membre titulaire avec Paolo Damiani, le Big-band Lumières de Laurent Cugny et également  le Paris Jazz Big-band.
Depuis toutes ces années, Gueorgui se produit avec de nombreux musiciens tels Bojan Z., Kenny Wheeler, François Jeanneau, Carla Bley, Quincy Jones, Maria Schneider, Marc Ducret, Louis Sclavis, Michel Portal, Claude Nougaro, le Strada Sextet d’Henri Texier, le Vienna Art Orchestra , le Sextet «Danzas» de Jean-Marie Machado....
De 1999 à 2023, il créera 5 groupes qui exploreront son univers musical en interprétant ses compositions et arrangements.
• Gueorgui Kornazov Quintet "Staro Vreme"
• Gueorgui Kornazov "Horizons" Quintet
• Trio Kornazov / Codjia / Tamisier
• "The majesty of Kenny Wheeler"
• Duo Gueorgui Kornazov et Leonardo Montana
En 2015, Gueorgui compose et arrange «Conscience», un nouveau programme pour Big-band et trois solistes enregistré à Radio Sofia, Bulgarie.

Depuis, il poursuit régulièrement ses collaborations avec des musiciens bulgares, tout en poursuivant sa carrière en France.

 

 


Masterclasse de percussions

( date à confirmer )


Conservatoire Ardenne Métropole - Charleville-Mézières

Dans le cadre de la création Percepts + Sylvain Kassap


Cette année exceptionnellement CAJ participe à la création initiée par Dominique Tassot, directeur du département jazz du Conservatoire Ardenne Métropole.
Cette création prévue en juin 2024 implique Sylvain Kassap, le duo Percepts (David Joignaux/Thomas Gobert), et les classes de percussions et de saxophones du C.R.D. Notre masterclasse annuelle de percussions sera donc remplacée par une des séances de travail programmée en préparation de cette création.

David Joignaux


photo Maria Mosconi



Diplômé en percussion et musique de chambre dans les classes de Michel Cerruti et Hae-Sun Kang au C.N.S.M.D., David Joignaux est un musicien éclectique, formé aux multiples écoles de la percussion.
Lauréat du concours international de timbales de Lyon, il en remporte également le prix de la meilleure interprétation de récit (Heinz Holliger), dont c’est alors la création mondiale. Il se produit au sein d’orchestres nationaux (Rouen, Bordeaux, Lille, Orchestre National d’Ile de France) et joue également des instruments d’époque (le Concert de la Loge, Les Arts Florissants, Orchestre des Champs-Elysées, Les Talents Lyriques, Les Musiciens du Louvre, Le Centre de Musique Baroque de Versailles, etc…). Il interprète la musique contemporaine en soliste et en formation de musique de chambre.
Il compose des musiques de spectacles (compagnies Pseudonymo et Gracioso Crépuscule, avec laquelle il crée en 2021 Le roi s’amuse) et aborde les univers du jazz, de la pop, des musiques traditionnelles… Son jeu s’épanouit à la timbale, mais aussi aux claviers, à la batterie, aux percussions digitales. Une multitude de genres se combine ainsi, comme autant de reflets personnels qui enrichissent son art.
David Joignaux intervient régulièrement en masterclasses, seul ou avec le duo Percepts. Il a été formateur au Jeune Orchestre Atlantique, il est formateur de la classe d’orchestre des Talents Lyriques et en lycées professionnels avec le Hip Baroque Choc sous la houlette du Concert de la Loge.

Le binôme « Percepts », saxophone & percussion, est né de sa rencontre avec Thomas Gobert au sein du C.N.S.M.D. Tous deux passionnés par les explorations multiples de la musique nouvelle, bon nombre de compositeurs s’intéressant aux étonnantes   possibilités sonores de ces instruments, ils ont vite été amenés à se rencontrer autour d’un projet commun : la création d’un répertoire nouveau pour saxophone et percussion en étroite collaboration avec différents compositeurs, dont Sylvain Kassap.

 

 

retour page d'accueil


 

Programmation réalisée avec le soutien de :

 

     
tcm
     

 

 


ph