tarif des entrées

 

 

Jeudi  17 octobre

20h30

Théâtre
de Charleville-Mézières

Rabih Abou-Khalil
Mediterranean Quintet


photo/© D.R

Rabih Abou-Khalil (Liban) 
oud & compositions
Gavino Murgia (Sardaigne) 
vocals, sax soprano
Luciano Biondini (Italie) 
accordéon
Michel Godard (France) 
tuba & serpent
Jarrod Cagwin (USA) 
batterie & percussions

Le joueur d'oud  libanais Rabih Abou-Khalil nous emmène à la rencontre d’un « folklore imaginaire » qui jette des ponts entre orient et occident, entre classique et moderne, entre les langues et les cultures.
Rabih Abou-Khalil a enregistré avec des grands noms du jazz, des musiciens arabes traditionnels, mais aussi  des quatuors à cordes classiques,  et  n’a cessé de faire voyager son oud aux lisières d’un jazz modal et nomade, aux frontières de toutes les esthétiques.
Cette curiosité sans fin s’est néanmoins fixée autour du bassin méditerranéen depuis une dizaine d’années, avec Gavino Murgia, chanteur sarde passé maître dans la technique du chant guttural, qui joue également du saxophone soprano, le fidèle d’entre les fidèles Michel Godard aux tuba et serpent, Luciano Biondini à l’accordéon et le batteur  américain Jarrod Cagwin. C’est cette formation qui a enregistré  "Hungry People", le vingtième album de Rabih Abou-Khalil.
Un concert où musique orientale, jazz contemporain et poésie ne font qu'un  pour alimenter une verve éminemment onirique.

 «  L'imaginaire rythmique débordant d'Abou-Khalil semble vouloir emmener chaque fragment mélodique au-delà du réel.  Beaucoup de virtuosité dans cette urgence de vivre. » 
Jazzmagazine octobre 2012

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en partenariat avec le Théâtre de Charleville-Mézières


Réservations : Théâtre
03 24 32 44 50

plus d'infos :



 

 


 



 

 
Samedi 9 novembre
20h30

FORUM

13, Av Jean Jaurès Charleville-Mézières

Xavier Desandre Navarre

"UNITED  NATIONS  OF  GROOVE"

 

Xavier DESANDRE NAVARRE : Batterie, Percussions   & Vocals
ALLONYMOUS : Slam & Vocals

Jean-Phi DARY : Piano , Keyboards & Vocals
Stéphane GUILLAUME :Sax, Flutes, Basse & Vocals
TEKYES : Visual Designer & Projections

Avec des musiciens issus des scènes afro et jazz,  Xavier Desandre Navarre présente des compositions groove, inspirées de paysages virtuels et contemporains. 
Sur les traces de Gil Scott Heron, les textes poétiques d'Allonymous questionnent les enjeux et la société contemporaine.
Les images uniques du visual designer Tekyes subliment ces regards sur le monde actuel.

 

Xavier Desandre Navarre, batteur et percussionniste français, est un musicien confirmé de la scène internationale. Sorcier des rythmes et du son, il éclate les catégories existantes, ne se laissant pas enfermer dans un style unique, aussi à l’aise dans le registre acoustique intimiste que dans la démesure électro.
Associant instruments traditionnels et effets électroniques avant-gardistes, il utilise une multitude de sonorités différentes, exprimant par son jeu et sa voix un langage musical passionné.
Allonymous est originaire de Chicago. Il est connu en Europe pour ses talents de poète et de slameur et a joué (entre autres) avec Keziah Jones, Tony Allen, Julien Lourau, Jeff Sharell ...
Ses qualités d’improvisateur, sa voix envoutante, ses dons de danseur font merveille pendant les concerts très funky où son style si particulier séduit.
Stéphane Guillaume est l' un des saxophonistes les plus imposants de sa génération, maitre d'oeuvre de plusieurs projets salués par la critique. C'est aussi un multi-instrumentiste qui a notamment croisé la route de Didier Lockwood, Claude Nougaro, Toots Thielmanns, Peter Erskine, Vince Mendoza …
Jean-Phi Dary a participé à des tournées de grands noms de l'afro-beat ( Papa Wemba, Toure Kunda ... ). Collaborateur occasionnel de Bumcello, Spleen, Peter Gabriel, ou encore Tony Allen, ( le mythique batteur de Fela avec qui il a produit un album ), il multiplie ses participations à des projets funk, soul, electro, qui ont tous un point commun : le groove !

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" En attendant la SMAC"

Ce concert vous est proposé dans le cadre des actions de préfiguration d'une Scène de Musiques Actuelles portée par la Communauté d'agglomération Coeur d'Ardenne avec le soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles et laRégion Champagne-Ardenne

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Mercredi 4 et

Jeudi 5 décembre

20h30

 Auditorium CRD

Renaud Garcia-Fons Solo
« Les mille et une voix de la contrebasse »


photo Archibald Dekiss

Renaud Garcia-Fons :
contrebasse, loops

plus d'infos :


Renaud GARCIA-FONS, virtuose mondialement reconnu de la contrebasse cinq cordes a sorti en Mars dernier son dixième album en leader, « Solo, the Marcevol Concert  », associant un cd et un DVD enregistrés en public.
Tout est contrebasse dans ce solo et si certaines pièces sont écrites pour la contrebasse seule, l’utilisation de loops dans d’autres, permet une véritable démultiplication de l’instrument.
Renaud réalise ici son rêve de toujours : faire de la contrebasse un instrument à vocation universelle qui se suffit à lui-même ; donner à entendre -et à voir- les « mille et une voix » de la belle, en explorant toutes les techniques de l’archet au pizzicato.

Un chant unique au parfum d’orient qui retrouve la plénitude épatante des musiques millénaires.

"... Ici se croisent musique baroque, médiévale ou classique, jazz et rock. Solo est le disque de l’épanouissement d’un artiste totalement investi par son art, mais aussi celui d’un homme humble et réservé, infatigable travailleur de la contrebasse...
Solo est aussi la démonstration lumineuse du talent d’un artiste qu’on hissera volontiers au rang de maître. Seul avec son instrument (et quelques effets électroniques générateurs de boucles sonores), il repousse les limites d’une technique déjà immense, et déploie un chant d’une stupéfiante beauté. "

Denis Desassis Citizenjazz

voir une vidéo du Marcevol concert

"Renaud Garcia-Fons,
Au delà de la contrebasse"

teaser film

teaser du film de Nicolas Dattilesi


Renaud Garcia-Fons proposera dans l'après-midi une présentation de son approche de la contrebasse, pour les élèves du CRD et des Classes à horaires aménagés


 
 


Mardi 4 Février

20h30

 Auditorium CRD

Céline Bonacina Trio


photo DocMac©2013

Céline Bonacina :
saxophones baryton alto et soprano
Olivier Carole : basse
Hary Ratsimbazafy : batterie

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Depuis qu'elle a remporté le Prix Rezzo Jazz à Vienne en 2009 puis a été nominée aux Victoires du Jazz en 2011, Céline Bonacina a fait du chemin !

Née il y a 38 ans, Céline Bonacina a commencé très jeune l’apprentissage de la musique, puis s’est spécialisée dans le saxophone baryton dont elle acquis la pratique dans divers big-bands parisiens à la fin des années 1990. Revenue en Métropole en 2005 après avoir enseigné la musique pendant sept ans à La Réunion, elle a gravi les échelons : premier disque en 2005, Prix de groupe au Concours de Jazz de La Défense en 2007, signature en 2010 chez ACT, important label européen.

Ayant séjourné quelques années à La Réunion, elle en a rapporté des effluves propres aux rythmes de l’Océan Indien que viennent conforter les polyrythmies du batteur malgache Hary Ratsimbazafy.

Après avoir publié avec le concours amical du guitariste NGuyên Lê un deuxième album dans lequel son baryton tient le premier rôle, elle récidive en 2013, avec "Open Heart ", enregistré avec entre autres Pascal Schumacher et Mino Cinelu, qui lui vaut à nouveau les éloges de la presse spécialisée, et des invitations sur les scènes des grands festivals.

“Associée à un charme qui, d’emblée, tient du sortilège, il y a là une profondeur d’expression qui m’a beaucoup séduit : le pouvoir de dire, la poésie du discours…"  Alain Gerber, France Musique.


"…Une musique voyageuse, aérienne, chaloupée, surfant sur les vagues d’un imaginaire musical sans frontières, mais avec un travail du son, une générosité fougueuse et une intensité lyrique qui marquent son territoire ". François-René Simon, Jazz Magazine

 

 


 

 

 


Jeudi 20 mars 2014

20h30

Auditorium CRD

Macha Gharibian Quartet


photo Richard Schroeder

Macha Gharibian : chant, piano
David Potaux-Razel : guitare
Théo Girard : contrebasse
Ariel Tessier : batterie

Des compositions lumineuses, inspirées de ses voyages où planent l’ombre du Mont Ararat, les pulsations de Brooklyn et la « french touch » parisienne.
Macha Gharibian propose un univers émouvant et très personnel, joue un jazz qui marie avec bonheur folk songs, traditionnels arméniens et musique pop.
Entourée de David Potaux-Razel à la guitare, du batteur Fabrice Moreau et du contrebassiste Théo Girard, " Mars ", son premier album, sorti en janvier 2013, nous entraîne dans une ballade poétique sur des textes signés de sa plume, de William Blake, et William Parker.
Macha Gharibian s’est nourrie, à travers ses expériences musicales et personnelles, d’esthétiques qui, acquises sur les chemins de la vie et assimilées au fil des rencontres, trouvent naturellement leur place dans la musique qu’elle propose aujourd’hui. Il y a bien sûr l’héritage folklorique arménien qu’elle partage avec son père, le guitariste, bouzoukiste et chanteur de Bratsch Dan Gharibian, mais aussi l’écriture contemporaine et l’improvisation dont elle a pu percer quelques secrets en travaillant avec Ralph Alessi (auquel elle dédie le très beau  "Affect Stories ") au sein de la School For Improvisational Music tenue par le trompettiste. Entre ses racines et les rencontres multipliées à New York, sa volonté de jouer une musique mouvante et son amour pour la folk, entre son jeu de piano aux accents moyen-orientaux et sa voix qui ne se départit jamais d’une élégante retenue, elle a su trouver un équilibre que ses musiciens mettent en lumière.

"Elle nous embarque pour un voyage au cours duquel elle habille l'Arménie de ses plus beaux atours."
So Jazz

lire l'interview sur pianobleu.com :

plus d'infos :


 


 



Samedi 12 avril
20h30

Théâtre
de Charleville-Mézières

EDOUARD FERLET
« Think Bach »

GIOVANNI MIRABASSI
Trio 
   

 

Edouard Ferlet  « Think Bach »



photo Grégoire Alexandre

Edouard Ferlet : piano solo.



 

Compositeur, improvisateur, pianiste et même producteur, Edouard Ferlet compte parmi les musiciens  les plus inventifs et entreprenants de la scène du jazz français. On se souvient des différentes formations qu'il a dirigées, dont " Écharpe d'Iris ", du merveilleux trio de Jean-Philippe Viret, deux formations déjà programmées par CAJ. On connaît aussi son travail pour le théâtre et différents spectacles musicaux, et de " Par tous les temps", son premier enregistrement solo datant de 2004.

Il surgit aujourd’hui à l’orée du monde classique avec un disque solo magistral intitulé « Think Bach », offrant une relecture savante, sensible et spectaculaire de la musique du compositeur, traitée avec un brio fascinant. Irrésistible.

" Quel enseignement le pianiste de jazz peut-il tirer du texte de Bach s'il s'agit de développer son art et pas simplement sa technique ? Edouard Ferlet s'est posé la question avec sérieux et sa réponse est là, dans ce Think Bach qui surprend et émeut. Il y a d'abord le rythme, son implacable régularité, à respecter, et la tentation mécanique, à déjouer. Comment ? En insufflant la passion à la mathématique. Seul moyen : donner vie aux croches non pas en altérant leurs valeurs mais en les soumettant à une dynamique vivante, en modifiant leur intensité. La frappe alterne alors profondeur et légèreté en un jeu très sérieux qui vise le plaisir pur de la forme.Ferlet a creusé le texte du Clavecin bien tempéré, il a « fouillé les plis de la partition », comme il est dit joliment sur la pochette, il a envisagé les notes comme des « hiéroglyphes sonores ». Autrement dit, il a interprété le texte en prenant avec lui seulement les libertés auxquelles il incite. Bref, il a joué avec Bach plutôt que de jouer du Bach, il ne l'a pas jazzifié, et donc trahi, il a cherché le jazz en lui, par le son aussi ...   ...   Le jazz et Bach en sortent transfigurés dans l'improvisation autant que dans la lecture rigoureuse ..."
Michel Contat Télérama

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Giovanni Mirabassi Trio

 

photo Maxence Grandolphe de Witte

Giovanni Mirabassi : piano
Lukmil Perez : batterie
Gianluca Renzi : contrebasse

Giovanni Mirabassi, virtuose du piano reconnu dans le milieu du jazz (Victoire du Jazz, Prix de l'Académie du Jazz, Django d'Or), s’est imposé en 15 ans de carrière et une douzaine d’albums, comme une figure incontournable du jazz européen.
Passé maître dans l'art du trio, il nous offre une musique qui fédère un public enthousiaste. On devient accroc à cette magie du concert où tout le monde a vibré à l'unisson. S' il existe une « âme italienne », il en est l'un des plus beaux représentants.
Entre Chopin et Debussy, entre les autres pianistes impressionnistes du jazz, ses frères en harmonie Bill Evans ou Brad Mehldau, Mirabassi est le pianiste du toucher, de l’émotion mais aussi de la passion.


. "...Giovanni Mirabassi, pianiste délicieux au toucher aristocratique et aux improvisations lumineuses, est l’un des artistes les plus passionnants de ce mouvement... Maître de l’art du trio, comme Bill Evans ou Brad Meldhau avant lui, Mirabassi se montre également excellent compositeur et évite l’écueil des standards archirabâchés qui polluent trop d’albums en panne d’inspiration. Cette double compétence fait de lui l’un des plus grands du jazz actuel."
NICOLAS UNGEMUTH - LE FIGARO MAGAZINE

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en partenariat avec le Théâtre de Charleville-Mézières

Réservations : Théâtre
03 24 32 44 50

plus d'infos :

 


 

 

 

 

 

 


 

Mardi 27 mai

20h30

Auditorium CRD

Concert annulé par l'artiste pour raisons de santé !

 

Vincent Peirani
« Living Being Quintet »


Photo ACT / Dean Bennici

  Vincent Peirani : accordéon, voix
Emile Parisien : saxophone,
Manu Codjia : 
guitare
Julien Herné : basse
 Yoann Serra : batterie

Prix Django Reinhardt ( musicien français de l’année 2013 )

Vincent Peirani est le jeune accordéoniste que tout le monde s’arrache.
Membre depuis deux ans du quartet de Youn Sun Nah, il fait aussi partie du quartet de Daniel Humair et est  invité occasionnellement pour un duo avec Michel Portal.
 Parallèlement à ces participations et à un duo avec le violoncelliste François Salque, il développe des projets personnels : un  concert solo qui a conquis le public du Jazz Festival du Mans, un trio avec Michael Wollny au piano et Michel Bénita à la contrebasse, auteur d'un remarquable album "Thrill Box", paru chez ACT au printemps 2013, et ce nouveau " Living Being " quintet où il retrouve entre autres  l’hyperactif Emile Parisien.

Dans son nouveau projet «Living Being» (être vivant), Vincent Peirani décline le terme anglo-saxon pour nous donner une lecture de l’Homme et sa capacité à vivre et à être dans l’instant présent.
«Living Being» est la rencontre de quatre personnalités qui évoluent dans des domaines musicaux différents, réunis autour d’un cinquième univers, celui de Vincent Peirani.
A partir d’éléments composés par Vincent Peirani, les cinq musiciens «écrivent» une grande partie de leur musique en temps réel. Conçue comme des tableaux, des histoires, scènes de vie, leur musique puise dans le jazz, le rock, la pop, la chanson...
De ce mélange des cultures et des genres naît un métissage qui donne toute la richesse à ce projet. Plus qu’une expérience musicale, "Living Being" est surtout une histoire "d’Hommes" au présent...
"Living Being", c’est l’idée du mélange des cultures, métissage musical qui donne toute la richesse à ce projet.
Une histoire musicale, et avant tout, une magnifique expérience humaine à base de jazz, groove, rock, chanson...

voir une vidéo du duo Peirani/Portal




 


 



 

 




Vendredi 6 juin 2013

 
20h30

Amphithéâtre
Pierre Mendes-France

SEDAN


Reis-Demuth-Wiltgen


photo Jean-Baptiste Millot

Marc Demuth
: contrebasse
Michel Reis : piano
Paul Wiltgen : batterie

Le Luxembourg, nouveau berceau du Jazz européen ? La scène luxembourgeoise semble pousser les frontières et s’émancipe grandement depuis ces derniers mois. Pascal Schumacher, Maxime Bender, entre autres, sont là pour témoigner de cette effervescence dans l’écriture, la composition et une expression sur scène des plus passionnantes.
Parmi ces musiciens attachés à leur territoire mais conquérant sur le monde, le pianiste Michel Reis, le contrebassiste Marc Demuth et le batteur Paul Wiltgen ont su prendre le temps de la réflexion, de l’apprentissage et de l’ouverture sur ce monde. Résidant aux Etats Unis depuis plusieurs années pour Michel Reis et Paul Wiltgen, navigant entre Portugal, Espagne et le reste de l’Europe pour Marc Demuth, ce Trio déjà complice depuis 1998 tient à s’affirmer aujourd’hui comme une des formations les plus originales dans le célèbre triangle piano, basse, batterie. Une écriture très européenne pour les mélodies associée à la puissance rythmique US dans tout ce qu’elle a d’enthousiasmant dans la dynamique et d’assise dans la construction, Reis / Demuth / Wiltgen nous interpelle sur la richesse de ce jazz actuel et sur une Europe décomplexée.
Jean-Michel LEYGONIE

 

"Parfois, la grâce saisit des toutes premières mesures du tout premier album d’un trio – piano, batterie, contrebasse – blanchi sous le harnais (le Berklee College, le Conservatoire New England, mais aussi des appariements avec Danilo Perez ou Dave Liebman, pour un trio luxembourgeois aux pérégrinations européennes ou new-yorkaises), trois amis en fait, qui se perdent de vue puis se retrouvent pour graver neuf compositions à l’élégance compacte, où la musique savante européenne pousse puis s’efface devant quelques scansions répétitives, et autres climats minimalistes d’une extrême élégance. "
Christian Larrede Jazz News

co-production Médiathèque de Sedan/CAJ

Entrée libre.

plus d'infos :

 

 

 


 

Programmation réalisée avec le soutien de :

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