jeudi 18 septembre 2008

Auditorium ENMD

Nicolas Folmer Quartet

Nicolas Folmer :
trompette
Jérôme Regard :

contrebasse
Pierre-Alain Goualch :
piano
Benjamin Henocq :
batterie

 

plus d'infos :

Musique et vidéos sur myspace


A 31 ans, Nicolas Folmer est considéré comme l'un des meilleurs trompettistes et artistes de jazz de sa génération. Après de brillantes études au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris , il obtient en 1996 un premier prix, et en 1998 un prix de perfectionnement en composition. Il intègre l'orchestre national de 1996 à 2000 et fonde avec Pierre Bertrand le « Paris Jazz Big Band » à la réputation aujourd'hui internationale et dont les projets - composés et dirigés par ses deux fondateurs - sont encensés par la critique.
Il fonde le groupe « Nojazz » avec Philippe Sellam mariant jazz et musique électronique et enregistre à New York un album produit par Teo Macero (producteur légendaire de Miles Davis, Duke Ellington).
Il est régulièrement sollicité comme soliste par des artistes prestigieux : Dee Dee Bridgewater, Henry Salvador, Wynton Marsalis, Charles Aznavour, Diana Krall, Natalie Cole, Claude Nougaro, John Lewis, Georges Russell, Laurent Cugny, Ricardo Del Fra, André Ceccarelli, Patrice Caratini, Louis Winsberg, Minino Garay… entres autres…
L'année 2005 est l'année de toutes les consécrations pour Nicolas, qui est notamment récompensé par un Django d'Or pour le magnifique disque "I comme Icare" et qui s'est également vu décerné un autre Django d'Or pour la co-direction du Paris Jazz Big Band ainsi qu'une Victoire de la Musique.
En 2006, un nouvel album en quartet voit le jour "Fluide" avec P-A Goualch (p), J Regard (cb) et T Grimmonprez (bt). L'occasion de présenter les musiciens qui l'accompagnent sur scène. Nicolas Folmer se produit également à plusieurs reprises avec le compositeur et interprète Michel Legrand suite à l'enregistrement d'un projet autour de la musique de ce dernier, musique totalement revisitée par le nouveau quartet de Nicolas Folmer, dans lequel on retrouve Thierry Eliez (p, org. Hammond), Jérôme Regard (cb) et Benjamin Henocq (bt).



photo Marc Rouvé

 

jeudi 16 Octobre 2008

Théâtre

Moutin Reunion Quartet

François Moutin :
contrebasse
Louis Moutin :

batterie
Pierre de Bethmann :
piano
Rick Margitza :

saxophone


Co-production
Charleville Action Jazz / Théâtre

en savoir plus :

le site des frères Moutin

 

Quatre albums enregistrés entre 2000 et 2007, le dernier réalisé au studio Systems Two à New York, rayonne de la maturité acquise ces deux dernières années par le quartet.
La multitude de concerts - bientôt 300 ! - réalisés aux quatre coins de la planète n'y est certainement pas pour rien. C'est une formation vivante et soudée qui s'exprime ici.
La musique met en évidence les directions artistiques prises par ses leaders - François et Louis Moutin - et révèle une complicité rare entre les quatre acteurs du quartet franco-américain, qui se produit avec un égal bonheur en Europe et aux Etats-Unis.
Des grooves explosifs et une dynamique poussée à l'extrême, au service de compositions subtiles, à l'architecture souvent très élaborée, mais qui paraissent à l'écoute si naturelles et simples… Tel est certainement l'un des nombreux secrets de la réussite du Moutin Reunion Quartet.

"Leur force réside dans l'entente qui existe entre les deux frères, le contrebassiste François, soliste et "driveur" fabuleux, et le batteur Louis, l'une des paire rythmique les plus enthousiasmantes qui soient aujourd'hui. (…) du jazz à écouter au réveil pour se catapulter dans une journée qui ne va pas vous faire de cadeau. Mais cette musique en est un."
Michel Contat | Télérama | 2005

"En quelques années, le quartet des frères Moutin est devenu bien plus qu'une simple association de musiciens, aussi doués soient-ils : une entité organique qui se découvre chaque jour des potentialités inédites. (…) Un Jazz lumineux, chaleureux, admirablement pensé et joué."
Bernard Loupias -Le Nouvel Obs janvier 2008


 


photo Ursula K

 

jeudi 11 décembre 2008

Auditorium ENMD

 

 

Carlo Rizzo Trio

Carlo Rizzo :
tambourin
Robert Pignol :

accordéon
Michel Mandel :
clarinettes

 

le site de Carlo Rizzo

vidéo de Carlo Rizzo

 

en savoir plus:

 

 

 

 

Première partie:

Big band de l'ENMD
dirigé
par Pierre Vaiana






CARLO RIZZO TRIO
:
L'an passé, Carlo Rizzo a subjugué les spectateurs lors du concert de Al Funduq, par sa maîtrise exceptionnelle du tambourin. Il a également animé une masterclasse à l'ENMD, révélant les possibilités insoupsonnées de cet instrument d'apparence modeste..
Pour répondre à l'enthousiasme soulevé par ses prestations, nous avons le plaisir de l'inviter à nouveau, avec son trio proposant une création musicale très personnelle où les influences des musiques populaires comme du jazz se font sentir avec en plus une verve qui est propre aux trois interprêtes et qui donne du plaisir à la musique qu'ils jouent.
Le trio de Carlo Rizzo s'est produit pour la première fois l'été 2001 au cours de l'Académie Internationale de la Percussion qui réunit les percussionnistes les plus importants du monde entier. Le concert fut triomphal.
Carlo Rizzo, né à Mestre (Venise) en 1955, se destinait à la peinture après avoir obtenu son diplôme d’Etat à l’Académie des Beaux-Arts de Rome, mais il bifurque brusquement vers la musique qui n’était jusqu’alors pour lui qu’un passe-temps. C’est qu’en 1979, il a découvert le tambourin grâce à Alfio Antico et Raffaele Inserra, deux percussionnistes traditionnels du sud d’Italie... mais il poursuit seul son apprentissage et découvre peu à peu, à travers les répertoires traditionnels, mais aussi la musique ancienne et les recherches les plus contemporaines, toutes les possibilités des percussions jouées à la main. L’interprète en lui se double d’un inventeur, car pour aller plus loin encore, il en vient à créer deux nouveaux instruments, le tambourin polytimbral et le tambourin multitimbral, qui lui permet d’adapter à chacun de ces répertoires qu’il a fait siens son étonnante virtuosité et son sens de l’improvisation.
Carlo Rizzo joue en solo depuis 1992 dans des concerts mélangeant percussion et chant. Les grandes scènes nationales et des festivals internationaux le programment régulièrement. Depuis 1988, il a créé ou participé à la création d’une trentaine ensembles qui lui ont permis de se sentir aussi à l’aise en musique traditionnelle, ancienne, contemporaine ou jazz.

BIG-BAND de l'ENMD :
Depuis bientôt 22 années, le Big Band de l'ENMD a vu défiler plusieurs dizaines jeunes musiciens, élèves de l'ENMD de Charleville-Mézières. Dirigé par Dominique Tassot, professeur de saxophone et coordinateur du département Jazz et Musiques du Monde de l'école, il accueille régulièrement en résidence des musiciens professionnels, qui proposent des oeuvres et des arrangements spécifiques à l' orchestre.
Depuis 2003, un rythme s'est instauré : des résidences de deux années, se clôturant par un concert présentant le résultat du travail accompli. Ainsi le Big-Band a-t-il fêté ses 20 ans en 2006 sous la direction de Jef Sicard (voir compte-rendu )
Charleville Action Jazz gère ces résidences, ainsi que différents stages et masterclasses qui y sont associés.
Le Big Band a déjà accueilli quelques invités de renom: Michel Herr et Félix Simtaine, Sylvain Kassap, Jef Sicard, et actuellement Pierre Vaiana ( voir bio )
D'autres stages d'initiation à l'improvisation ont été animés par Jean-Marie Machado, Bertrand Renaudin Quartet ( avec Jean-Michel Pilc, Marc-Michel LeBevillon et Xavier Cobo ) Sylvain Kassap et Jacques Mahieux, Michel Goldberg ( cuivres ), Dominique Pifarély ( cordes ), tandis que les batteurs et percussionnistes ont pu bénéficier des masterclasses de Félix Simtaine, Bertrand Renaudin, Franck Tortiller et Vincent Limouzin
( pour préparer une première partie au concert de l'ONJ ), et Carlo Rizzo. Le Joueur de Tambourin qui assurera avec son trio la seconde partie de ce concert a d'ailleurs eté invité lors d'un stage animé par Pierre Vaiana à jouer avec le Big-Band, ce qui donne une cohérence certaine à cette soirée.

 

 


photo Dominique Rieffel



photo Dominique Rieffel


jeudi 15 Janvier 2009

Auditorium ENMD

Edouard Ferlet Quartet
" L'écharpe d'Iris"

Edouard Ferlet :
piano
Alain Grange :
violoncelle
Xavier Dessandre-Navarre:
percussions
Simon Spang-Hanssen :
saxophones

plus d'infos:

le site d'Edouard Ferlet


plus d'infos sur pianobleu.com


Après deux albums en leader, Escale et Zazimut , réunissant quelques pointures du jazz européen (Simon Spang-Hanssen, Claud Strotter, Mederic Collignon... ), Edouard Ferlet intègre en 2000 le trio de Jean-Philippe Viret avec qui il enregistre 3 albums salués par la critique ( nomination aux Django d'or, Victoires de la musique, presse élogieuse. )

En 2004, son premier album solo "Par tous les temps" est récompensé par l'Académie Charles Cros et encensé par la presse spécialisée.

Parallèlement, Edouard Ferlet accompagne des chanteurs d'horizons variés: Mark Murphy dans le jazz, Manda Djin dans le gospel, Lambert Wilson dans le cabaret, et Julia Migenes, pour laquelle il est également arrangeur.

Pour son nouvel album en leader, "L'Écharpe d'Iris", il réunit une formule originale: Simon Spang-Hanssen aux saxophones et à la flûte, Xavier Dessandre-Navarre aux percussions, Alain Grange au violoncelle. Il y développe un univers propice à l'évasion, combinant lyrisme et t rythme soutenu au cours de compositions variées et d'une grande richesse. Nouvelle réussite pour ce musicien prolixe , qui est à la fois compositeur, arrangeur, pianiste, et producteur du label "Mélisse".

"...Inspiré et cohérent, ce beau projet collectif force l'admiration et invite à la rêverie..." Jazzmagazine
"...L'écharpe d'Iris s'avère la bande son idéale pour scruter les cieux aux couleurs d'automne et tutoyer les anges..." Jazzman

 


photo Grégoire Alexandre

 

mardi 10 février 2009

Auditorium ENMD

Bertrand Renaudin Trio

Bertrand Renaudin :
batterie
Michel Benita :

contrebasse
Emyl Spanyi :
piano

le site de Bertrand Renaudin

plus d'infos :

 

 

 

 



Bertrand Renaudin débute des études classiques en 1968 au Conservatoire de Rennes et fera partie des premiers élèves de Dante Agostini et de Kenny Clark. Il découvre le jazz dans les années 70 à travers, entre autres, le trio d’Eddy Louiss, René Thomas et Kenny Clark.
Lauréat du Concours National de Jazz de la Défense (avec son quartet) en 1988, il se consacre depuis 1989 exclusivement à sa propre création, si l’on excepte une aventure avec le quartet de Steve Potts (1988-1991) et une remarquable participation au quartet de Jean-Charles Capon (1997-1999).
Passionné de voyages, dont l’influence teinte ses compositions, il fera de nombreuses tournées à l’étranger sous son nom. Il parcourt ainsi le Moyen-Orient, la Syrie, l’Egypte, la Palestine, les Territoires occupés, mais aussi les Balkans, la Macédoine, la Bulgarie, la Roumanie et surtout l’Afrique.
Depuis 1993, il séjourne régulièrement dans différents pays de ce continent, pour réaliser des projets qui lui tiennent à cœur. “Homme de cœur, il dédie ses morceaux aux amis, aux gens d’ailleurs, aux continents, bref aux aventures humaines sans lesquelles il ne serait pas”.
Après une quinzaine de disques, il a acquis avec" L’arbre voyage" en 2000 et "Turbulent Silence" en 2003 la reconnaissance du grand public. 2006 marque son retour sur la scène discographique avec deux nouveaux albums signés avec le Label LABORIE Jazz, “Les fleurs auront toujours le dernier mot” avec son Quartet United Flowers et “Doüo” nouvel opus de sa collaboration avec le guitariste Olivier Cahours, confirmation d’une esthétique et d’un équilibre parfaits.
Charleville Action Jazz a régulièrement accueilli Bertrand Renaudin, en Quartet, avec le Zoomtop Orchestra, en duo avec Olivier Cahours, et était à l'origine de sa rencontre avec Jonas Knutsson pour la création de "L'arbre Voyage". Pour la première fois, nous l' accuillerons dans la formule du trio Piano/basse/batterie.

 


photo Pierre Mérat

 

vendredi 20 mars 2009

Forum

François Corneloup "Next "

François Corneloup :
saxophones baryton et soprano
Dominique Pifarély :

violon
Chico Huff :
basse
J.T. Bates :
batterie
Dean Magraw :
guitare

en savoir plus :

 

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lire l'article sur Citizenjazz

lire la chronique du cd sur Culturejazz

lire la chronique du cd sur Citizenjazz

lire l'interview de F.Corneloup par F.Médioni pour Jazzmagazine

 

 

 

 


Un concept musical assez électrique, basé sur une section rythmique énergique, ouvrant sur les domaines de la musique improvisée, tant dans les palettes sonores que dans la liberté de parole.
Next démarre en Octobre 2006 à Minneapolis, où le compositeur et improvisateur François Corneloup repère et sollicite les musiciens les plus créatifs de la scène actuelle de la musique improvisée américaine. JT Bates (Fat Kids Wednesday) est un batteur au groove solide qui sait aussi à tout moment s'affranchir de ce rôle fonctionnel pour créer des espaces de jeu collectif. Dean Magraw apporte l'énergie électrique de sa guitare et Chico Huff (Jeff Lee Johnson) consolide de ses lignes nerveuses et rigoureuses les bases rythmiques du projet. A la place de soliste qui lui est donnée, Dominique Pifarély contribue en toute complicité à l'influx de l'improvisation par son jeu véloce et inspiré, tirant parti au maximum de son background de musicien de jazz et de son parcours expérimental sur le son et la composition.
Ainsi entouré, François Corneloup se place dans la continuité de la voie mélodique ouverte qu'il trace depuis de belles années.

"Osera-t-on le dire ? Depuis Weather Report, nous n’aurons guère entendu de formations alliant aussi parfaitement et naturellement l’acoustique et l’électrique, sans pesanteur et dans un esprit de grande liberté. D’ailleurs, Dominique Pifarély y est transfiguré, au bord d’une transe jubilatoire, porté par la pulsation du groupe .... François Corneloup affirme totalement sa personnalité : derrière une apparente sérénité, il cache un bouillonnement créatif qui transparaît dans ses interventions en soliste. Sa sonorité au saxophone baryton renforce par ailleurs les couleurs contrastées de sa musique faite de séquences où le groove  est très présent entre moments de tension vive et atmosphères plus "cool" et déliées. Les compositions de François Corneloup ne sont jamais simplistes comme en témoigne la structure complexe d’Iguana Crossing qui semble inspirer Dean Magraw, un guitariste dont il faut retenir le nom ! ...
 ...Le batteur JT Bates est impressionnant de bout en bout. Il sait allier la précision métronomique et la frappe des bons batteurs de rock à la finesse et à l’inventivité de ses "jazz-drummers" de référence ). Dans Homeless Hymn, il propulse le bassiste Chico Huff dans un solo brillant avant que le baryton feutré de François Corneloup ne fasse monter une tension mesurée. C’est tout simplement magique !" 
 
Thierry Giard -Culture jazz.net

voir une video


photo Frédéric Thomas

 

samedi 4 avril 2009

Théâtre

Elizabeth Kontomanou Quintet

Elisabeth Kontomanou :
vocal
Pelle Karlström :
piano
Yves Brouqui :
guitare
Thomas Bramery :
contrebasse
Donald Kontomanou :
batterie

Co-production
Charleville Action Jazz / Théâtre

en savoir plus :

le myspace d'Elisabeth Kontomanou

avec le soutien de

 


Pour qui serait tenté d’en douter, Elisabeth Kontomanou est une chanteuse, une vraie. Et, ce qui ne gâte rien, de jazz en plus.
Compositeur (trice) et auteur (teuse, trice… ?) elle l’est aussi à ses heures, et pas qu’un peu. Présente sur les scènes du jazz en France, Europe et Etats-Unis depuis une vingtaine d’année, enregistrant sous son nom depuis 1993, elle a été sollicitée par des musiciens prestigieux tels Léon Parker, Sam Newsome, Mike Stern, Jean-Michel Pilc, Michel Legrand, etc.
Après une nomination aux Victoires du Jazz 2006 (catégorie vocalistes), la sortie remarquée de « Waiting for Spring » fin 2005 et celle, en octobre 2007 de son dernier opus, « Back to my groove », encensé à juste titre bien au-delà de la presse spécialisée, la chanteuse acquiert enfin la reconnaissance que l’on aurait dû lui accorder depuis longtemps… si le devant de la scène n’était squatté, avec l’efficacité industrielle que l’on sait, par « tant de chanteuses encombrant les bacs avec des albums insipides, de pseudo projets et de pauvres imitations des grandes…» (V. Bessières – Jazzman)
Résultat d’une démarche opiniâtre justifiée par un talent indiscutable, E. Kontomanou s’est imposée souverainement comme l’une des grandes voix du jazz international. Spontanée, bouleversante, sensible, émouvante, envoûtante, la chanteuse « pourrait chanter l’annuaire téléphonique, et vous faire pleurer » (J.-M. Pilc). Des larmes de joie, bien entendu. Entourée pour ce concert par des musiciens au savoir-faire indiscutable, tels Manu Codjia, bien connu dans nos contrées et devenu LE guitariste incontournable de la sphère jazzistique hexagonale, Thomas Bramery, Carl Bagge et Donald Kontomanou, Elisabeth Kontomanou enchantera tout amateur de Musiques doté de cœur et de raison, et réciproquement.


photo Agnès Mellon

 

 

 

jeudi 28 mai 2009

Forum

OZMA

 

Guillaume Nuss :
trombone
David Florsh :
saxophones
Adrien Dennefeld :

guitare

Edouard Sero Guillaume :

basse

Stephane Scharlé :

batterie

le site de Ozma

musique et video sur myspace

lire l'interview sur



OZMA en Français: Un taxi jaune, une voix express désaffectée, la radio à fond.... Road-movie de grooves, trafic étrange de soufflants, d’ondulants, de percutants La musique dOzma prend source dans la continuité de groupes tels le Dave Holland Quintet, le Julien Lourau Groove Gang, ou encore certains projets de Steve Coleman. Easy rider du jazz français, ces cinq jeunes musiciens se produisent régulièrement dans toute l'Europe, notamment en Allemagne et dans les pays baltes et nordiques où ils rencontrent un succès grandissant.

Lauréat Jazz de la Défense 2006 (premier prix de groupe). Le benjamin et tromboniste du groupe, Guillaume Nuss, a quand à lui remporté le premier prix de soliste!

"L’instrumentation d’Ozma est déjà un signe : un saxophone éclectique qui parsème son discours d’effets électriques, un trombone plutôt gardien de l’esprit jazz, une guitare électrique avec des penchants pour le rock, une basse pour la ligne, et le tout cimenté par une batterie musclé (...) En tous cas, force est de reconnaître qu’Ozma est un groupe qui a la pêche, qui ne manque pas d’idées, et qui propose une musique résolument dynamique, festive et « funkisante » : un jazz « funkamétrique », comme ils le définissent eux-mêmes !"
Bob Hatteau Citizenjazz




photo Luc Jennepin

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